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Brianna Pearl
Brianna Pearl



I want to be touched, but it's too dangerous ~ [Brianna] | Dim 4 Avr - 23:47


Avatar
Votre Personnage

Nom : Brianna Pearl
Avatar :  Blue Poison - Arknights
DC ou TC ? : Nouveau
Age : 24 ans
Orientation sexuelle : Pansexuelle
Race : Hybride métisse (Hybride grenouille venimeuse + Succube)
Groupe : Esclave
Métier : Cuisinière spécialisée dans les desserts
Votre petite personne
Code du règlement : Lattitude 42° Nord, Longitude 42° Est !
Age :  27 ans
J'ai signé le règlement : Fait !
Une dernière volonté ? : Fluff owo And thin tails are better.


Caractère


Déjà depuis toute petite, Brianna était une enfant très douce. Toujours joyeuse et souriante. Une jeune fille serviable et obéissante. Elle était toujours chaleureuse, même avec les gens qu’elle ne connaissait pas. Toujours prête à donner un coup de main. A tendre l’oreille pour écouter les autres quand ils avaient des soucis. Toujours là pour offrir son épaule à ceux qui ont besoin de pleurer. Elle n’avait de cesse de sourire et de chercher les mots pour réconforter ceux qui en avaient besoin. C’est peut-être pour cette raison que les plus jeunes à la Tour venaient vers elle. Parce que son attitude rayonnait de bonne humeur et de joie de vivre. Et pour couronner le tout, elle était une jeune fille particulièrement rêveuse, souvent plongée des rêves où elle se voyait trouver sa moitié et vivre une vie heureuse. Même si elle était destinée à être une esclave, elle espérait, qu’un jour, elle pourrait rencontrer un maitre qui la traite bien. Se lier d’amitié avec les autres esclaves de ce maitre.

Malheureusement, son ascendance hybride animal est venue noircir ce magnifique tableau que reflète celle qui est aujourd’hui une jeune femme. En apparence, rien n’avait changé. Brianna était restée la même durant toutes ces années. Au détail près que derrière ce beau sourire qu’elle n’avait de cesse de porter à ses lèvres se cachait désormais une immense tristesse. Une tristesse due à ce sentiment de solitude qui l’abritait depuis désormais bien trop longtemps.

La toxicité de sa peau avait fini par l’isoler de ses camarades durant l’enfance. Cette particularité l’avait poussée à se couper des autres durant l’adolescence. Un vrai calvaire pour elle, qui avait besoin d’affection et de contacts physiques. Certes, elle s’était liée d’amitié avec plusieurs personnes. Elle avait même connu l’amour. Mais le contact physique était une chose proscrite à ses yeux, pour le bien de ceux qu’elle aime.

Au début, quand elle était petite, elle compensait cette solitude à l’aide d’une énorme peluche, qui lui fut malheureusement retirée une fois arrivée à l’adolescence. Et quelle horrible torture c’était pour une adolescente envieuse de sentir la chaleur d’un simple câlin, la douceur d’un simple baiser, que d’être privée de tout contact.

Aujourd’hui, Brianna garde toujours son sourire. Elle est toujours prête à aider son entourage. Elle s’est découverte de nouvelles passions : la cuisine, notamment les pâtisseries, mais également la lecture de manga. Elle avait eu l’occasion d’en lire quelques-uns, rescapés d’un passé lointain. Mais elle n’avait pas les moyens pour se permettre de commencer sa propre collection.

C’est d’ailleurs peut-être l’occasion de vous parler de ses désirs secrets. Tout d’abord, commencer sa propre collection de mangas. Peut-être un jour, qui sait ? Avoir une nouvelle peluche. Mais ça, elle ne pouvait pas se le permettre, c’est une chose pour les enfants lui avait-on appris. Mais surtout, rencontrer quelqu’un qui l’aimerait pour qui elle est. Comme elle est. Et qui pourrait la serrer dans ses bras sans aucun risque.

Parce que oui, aujourd’hui encore, Brianna évite du mieux que possible les contacts physiques. Elle va même jusqu’à porter des gants et une capuche la couvrant au maximum lorsqu’elle sort. Si jamais vous essayez de la toucher, ne soyez pas surpris qu’elle vous repousse plutôt violemment, surtout si c’est par surprise. Mais essayez de ne pas trop vous emporter contre elle. Après tout, c’est un geste réflexe pour votre protection. Car Brianna préfère se priver elle-même pour protéger les autres. Suffisamment de gens sont morts à cause d’elle.

Mais cette privation a un effet néfaste, qui pousse Brianna à régulièrement s’isoler pour craquer. Pleurer. Maudire sa condition physique qui l’empêche de s’épanouir pleinement. Elle aime se faire belle certes. Mais pour qui ? Pour quoi ? Pour se cacher ? A quoi bon alors ?
Avoir un amoureux ou une amoureuse ? Pour le ou la tuer au premier baiser ? Inutile. Pareil pour de simples amis. Pourquoi en avoir si c’est pour ne pas pouvoir les consoler quand ils sont tristes ?
Et pourtant, elle rêvait de pouvoir faire ces choses.

Oh, et une dernière chose. Brianna a une imagination débordante. Et il lui arrive bien souvent de se faire des films pour bien peu de choses. Ce qui peut parfois la mettre dans un embarras des plus complets sans aucune raison apparente.

Physique

Du haut de son mètre cinquante-sept, Brianna est une jeune femme mince, avec quelques courbes que l’on pourrait juger plutôt agréables. Ni trop absentes, ni trop présentes. Sa peau semble particulièrement douce, mais rares sont les personnes qui peuvent ou pourront en témoigner de part sa toxicité. Néanmoins, son teint pâle, faute d’être bien trop souvent couverte, ne laisse pas transparaitre de défaut particulier sur son épiderme.

Les traits de son visage sont fins, laissant ressortir ses grands yeux bleus. Un regard pétillant empli d’une certaine joie, mais à la fois d’une tristesse dissimulée à la plupart des personnes qui la croisent. Un visage doux, lui donnant un air innocent, encadré par une chevelure soyeuse, de couleur rose. Non, elle n’avait pas besoin de les teindre pour obtenir cette couleur. Mais Brianna ignorait si cela lui provenait du sang Hybride de son père ou du sang de Succube de sa mère.

Du point de vue vestimentaire, Brianna est constamment couverte du mieux qu’elle le peut. Même en été. Après tout, il lui fallait bien trouver un moyen d’éviter au maximum le contact direct avec sa peau auprès des autres individus. Sa tenue préférée ? Son sweat à capuche bleu. Ce qu’elle porte le plus souvent en dehors de ce sweat ? Ses gants qui lui permettent de toucher et manipuler des objets sans prendre le risque de poser un peu de toxine dessus. Des gants qui cachent bien souvent ses ongles vernis en bleu. Ah ? Vous n’étiez pas au courant ? Le bleu est sa couleur préférée. Ce n’est donc pas étonnant que sa garde-robe soit principalement composée de bleu !

Pouvoir


Capacité raciale : De la grenouille venimeuse, Brianna a hérité des glandes à toxine dissimulée sous sa peau. Ainsi, toucher la peau de la jeune femme revient à entrer en contact avec cette toxine. Une conséquence générale est une paralysie temporaire, dont l’intensité et la durée dépendent de la surface de peau de la victime entrée en contact avec le corps de la grenouille. Plus occasionnellement, lors d’un contact trop important sur une trop longue durée, ou en cas d’une fragilité plus naturelle au poison, la victime peut y trouver la mort. Malheureusement, Brianna n’a aucun moyen de contrôler sa toxicité.

Pouvoir : Brianna dispose d’un pouvoir passif sur lequel elle n’a aucun contrôle, et encore moins conscience. Lorsque l’on s’approche d’un peu trop près d’elle, on a tendance à être comme hypnotisé par… sa peau. Comme si une odeur non présente nous donnait l’envie irrésistible de toucher à cette peau qui a l’air d’être particulièrement douce.

Histoire


Ma mère était une Succube. Mon père un Hybride animal. Une grenouille toxique. L’éducation qu’ils m’avaient donnée ? Aucune. Elle ? Elle était morte en me donnant naissance. Empoisonnée par la toxine de sa propre fille. Si je suis comme père, comment avaient-ils fait pour me concevoir sans que ma mère n’en meurt ? D’une part, ça me donne aujourd’hui encore l’espoir, qu’un jour, moi aussi je pourrai connaitre la joie d’avoir un enfant. Et contrairement à ma mère, peut-être que je serai immunisée à la toxine de ma propre descendance. D’autre part, peut-être que ma toxine était plus forte que celle de mon père ? Après tout, j’avais également du sang de succube. Qui sait ? Personne n’avait jamais étudié ce sujet à ma connaissance. Peut-être y a-t-il encore d’autres mystères à percer. Mais ces histoires n’étaient pas pour moi. A quoi bon vous parler du passé de personnes que je n’ai jamais connues ?

Quoi ? Mon père ? Lui, je pense que c’était le pire des deux. On m’a dit qu’il n’avait pas supporté la mort de ma mère, et il l’avait suivie quelques jours plus tard. Je suppose que mon père n’avait pas une grande place dans la société. Ma mère non plus probablement. Sinon, est-ce que j’aurai grandi dans une Tour en étant demi-succube ? Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que, d’aussi loin que remontent mes souvenirs, je n’avais toujours connu que cette Tour et ses environs. A Las Vegas.

Comment s’était passée ma vie à la Tour, hein ? Je suppose que c’est ce que vous souhaitez savoir désormais. Ca ne vous dérange pas si je passe les premières années, je suppose ? Après tout, je n’étais qu’un nourrisson, donc je ne saurais pas vraiment vous dire comment était mon quotidien à ce moment-là. Bon… Puisque vous insistez. Je peux juste vous raconter ce qu’on m’a dit sur cette période. J’étais un nourrisson plutôt calme, qui s’endormait facilement quand j’étais prise à bras. Mais très vite, plusieurs personnes ont arrêté de vouloir s’occuper de moi. Surtout après les maintes fois où plusieurs d’entre-elles se sont retrouvées paralysées quelques heures. La faute à la toxine sous ma peau. Et encore, à l’époque, ça allait encore. On me laissait dans mon berceau et c’était suffisant pour éviter tout problème.

Mais vers l’âge de quatre ou cinq ans, quand je commençais à gambader bien joyeusement, comme tout enfant de cet âge, j’étais… comment dire ? Comme tous les enfants au final. A laisser parler ma personnalité. Sans entrave. Et les conséquences furent désastreuses.

Quoi ? Les conséquences ? Je n’aime pas vraiment en parler. Ce sont des mauvais souvenirs. Très mauvais même. Qui m’ont profondément marquée. Mais bon. Les souvenirs forgent la personnalité. Enlever les souvenirs d’une personne revient à lui enlever une part de sa personnalité. Et vous êtes là pour en apprendre plus sur moi. Donc je peux peut-être bien vous en parler un peu plus. Si je prends simplement l’exemple de ma meilleure copine de l’époque, ça devrait vous donner une bonne idée de ce qu’a été mon enfance.

Elle était tombée malade. Rien de bien grave. Malheureusement, j’avais laissé parler mon coeur et je m’étais rendue à son chevet. Je lui avais pris la main pour la réconforter alors qu’elle devait rester clouée au lit. Triste erreur que ce fut. Dans l’heure qui suivit, elle rendit l’âme. Empoisonnée. A l’époque j’avais du mal à comprendre pourquoi j’avais désormais l’interdiction de m’approcher des autres enfants. Je n’avais rien fait de mal, si ? Ou alors c’était mal de toucher les gens ? Alors pourquoi devais-je être la seule à avoir cette interdiction si c’était mal ?

Ces interrogations m’ont suivie durant mon enfance, jusqu’à l’adolescence. Une période généralement ponctuée de quelques rébellions. Ma rébellion ? Aucune en particulier. Après que je détestais ce monde qui me privait de la chaleur de mes camarades. Ou plutôt cette constitution qui était la mienne. Mais ce n’était toutefois pas suffisant pour me pousser à mettre fin à mes jours. Allez savoir pourquoi, j’aspirais, et j’aspire encore aujourd’hui, à un avenir meilleur.

Bon allez, ma plus grosse crise, c’était quand on m’avait retiré ma peluche avec laquelle je dormais depuis que j’avais été mise à l’écart des autres. Cette peluche, c’était en quelque sorte le moyen le plus sûr que j’avais de pouvoir faire des câlins sans empoisonner les autres. Alors, quand on me l’a retirée, ça avait été un véritable choc pour moi. « C’est pour les enfants. Tu es une grande fille maintenant. ». C’est ce qu’on me répétait sans cesse quand je voulais récupérer une peluche. Mais ces gens qui s’occupaient de mon éducation ne se rendaient pas compte de la solitude dans laquelle je me sentais.

J’avais essayé d’y échapper de bien des manières, en effectuant de nombreuses activités. Et j’avais réussi à en trouver quelques-unes qui me plaisaient énormément !

La première d’entre-elles ? La cuisine ! Et plus précisément, la pâtisserie ! Ce n’est pas pour rien qu’aujourd’hui je travaille dans la restauration ! Même si j’aimerais pouvoir vivre de la pâtisserie à l’avenir. Mais ce rêve est-il seulement accessible à une personne comme moi, dédiée à devenir une esclave ? Seul l’avenir nous le dira. Mais quoi qu’il en soit, cet avenir aurait très bien pu être réduit à néant dès mes premières tentatives.

En effet, dès ma première tentative de confection de cookies, j’avais obtenu un résultat pas vraiment mangeable. Enfin, il parait que le goût était plutôt bon. Mais tout ceux qui en avaient mangé étaient tombés malade. Ou plutôt paralysés quelques heures. Dès lors, tout le monde à la Tour évitait de manger mes préparations. Même si une personne avait trouvé la solution : me faire porter des gants en tout temps pendant que je cuisinais. Ca permettait d’éviter que ma toxine ne se mêle aux ingrédients.

Peut-être que je devrais aussi songer d’arrêter d’utiliser des colorants bleus dans mes gâteaux ? Ca éviterait de rappeler la couleur du poison.

Oh d’ailleurs, cette personne qui a eu l’idée de me donner des gants ! Je ne vous en avais pas encore parlé ! C’est la seule qui continuait à s’occuper de moi. Parfois, elle me faisait même des “patpat” sur la tête quand j’avais ma capuche ! C’est aussi elle qui m’a fait découvrir une autre passion : les mangas !

Alors oui, je sais, c’est plutôt rare et cher de nos jours. Bien au-delà de la portée de mon maigre revenu salarial. Mais elle en avait un avec elle, et elle m’a laissé le lire ! Au début, je n’avais rien compris. Mais genre, rien du tout ! Il n’y avait pas de texte, juste des dessins bizarres. Mais cette dame m’a alors appris à les lire ! Elle m’a expliqué que c’était une langue parlée sur une ile à l’ouest de notre pays. Elle m’en a alors appris les bases pour que je puisse lire ce manga. Comment ? Elle avait fait des études de linguiste. Mais étant stérile, elle avait abandonné ce métier pour se consacrer à élever des enfants de tout âge.

Finalement, j’ai pu lire le manga. Et qui sait ? Peut-être qu’un jour je pourrai en lire d’autres ! Ou mieux ! Visiter cette fameuse ile ! Après tout, l’espoir fait vivre, non ? Et un monde plus vaste que celui que je connaissais ne pouvait être qu’intéressant !

Quoi ? Le manga ? Il parlait juste d’une fille de bonne famille qui avait une servante d’à peu près son âge. Mais leur relation allait bien au-delà de leurs étiquettes. Elles étaient devenues amies. J’aurai aimé connaitre la suite de leurs aventures ! Et j’espérais moi-même avoir un maitre ou une maitresse avec qui je pourrai développer la même amitié !

Et voilà ! Je crois avoir fait le tour de ma vie encore relativement courte !

Non ? Vous en voulez plus ? De quoi je pourrai bien vous parler alors ? Je vous ai raconté les grandes lignes de ma vie et - Hein ? Les amours ? Ah euh….

Oui, j’ai été amoureuse. J’avais seize ans. Un garçon de la Tour. Il avait commencé à se rapprocher de moi depuis quelques temps. Au début, je pensais que c’était un pari avec ses amis. Pour me jouer une mauvaise blague. Mais les mois passèrent et ça devenait bien trop pour une simple blague. Alors, je me suis laissée aller. On est sorti ensemble pendant près d’un an. Mais un an à vivre en couple sans pouvoir se toucher, surtout à l’âge de l’adolescence, rempli d’hormones et d’envie de découverte, c’était compliqué. Si bien que nous avons fini par craquer.

Un simple baiser. Une dizaine de secondes nos lèvres l’une contre l’autre. Mon premier baiser. Une sensation des plus agréables qui soit. La plus agréable que j’ai pu ressentir de toute ma vie. Un rêve. Qui ne tarda pas à virer au cauchemar. Ce contact semblait avoir été suffisant pour emporter mon bien-aimé. Une heure après ce doux échange, j’apprenais son décès. Mort empoisonné.

Cette nouvelle m’avait brisée. Et depuis, j’évitais au maximum tous les contacts. Tous. Quitte à ce qu’on pense que je sois sans coeur, froide et distante. Et tant mieux. Je ne veux plus avoir de nouvelles morts sur ma conscience. Et pourtant, ça me manque. Terriblement. J’en souffre, mais je fais mine de rien. Pour ne pas que les autres s’inquiètent et s’approchent.

Et cela fait désormais sept années que je vis de cette façon. Toujours à Las Vegas. Toujours dans la même Tour. Toujours à attendre que quelqu’un veuille de moi. Parce que même les maitres potentiels ne se bousculaient pas à la porte pour moi.

N’étais-je donc que destinée à cette vie de solitude ?

Peut-être. Peut-être pas.

Mais pour le savoir, ce sont des histoires qui ne demandent qu’à s’écrire dans les temps à venir.



Bakura
Bakura


Race du personnage : Démon ancien.

Re: I want to be touched, but it's too dangerous ~ [Brianna] | Jeu 8 Avr - 15:24



Validation

Félicitations, tu es validée. Tu fais partie du groupe des Esclaves !

Tu peux faire ta demande de lieu, métier et RPs ICI. A priori pour ce qui est du maître, c'est déjà fait. :p
Amuse-toi bien !

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