Justine- Race du personnage : Démone
Épreuve 3 - Habilité médicale [gagnant Maîtres] | Lun 25 Fév - 1:50
Épreuve de soin: on vous donne une maladie ou un accident et vous décrivez en RP comment vous soigner ou traiter le patient
Rhume, égratignure, entorse, … Tout ça n’a aucun secret pour vous ?! Alors venez, venez tester vos compétences, dans un contexte aléatoire, avec des ressources limités, et parfois même en pleine guerre ! Si vous êtes prêt à tout pour sauver votre patient et redoubler d’ingéniosité, alors cette épreuve pour vous !
Noter ici que le but n'est pas d'être quelqu'un de callé en médecine mais plutôt de voir comment en rp votre personnage agira. Noter aussi que vous devez vous arranger pour que le patient ne meurt pas et donc ne pas abandonner.
Pour éviter la triche je vous donne un cas par groupe
Les maîtres: Le syndrome de Fregoli
Les rebelles: L'hypertrichose ou le syndrome du loup-garou
Bonne recherches et amusez vous hihi.
J'attends vos réponse sur le forum pour dimanche matin midi
Rhume, égratignure, entorse, … Tout ça n’a aucun secret pour vous ?! Alors venez, venez tester vos compétences, dans un contexte aléatoire, avec des ressources limités, et parfois même en pleine guerre ! Si vous êtes prêt à tout pour sauver votre patient et redoubler d’ingéniosité, alors cette épreuve pour vous !
Noter ici que le but n'est pas d'être quelqu'un de callé en médecine mais plutôt de voir comment en rp votre personnage agira. Noter aussi que vous devez vous arranger pour que le patient ne meurt pas et donc ne pas abandonner.
Pour éviter la triche je vous donne un cas par groupe
Les maîtres: Le syndrome de Fregoli
Les rebelles: L'hypertrichose ou le syndrome du loup-garou
Bonne recherches et amusez vous hihi.
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Invité- Invité
Re: Épreuve 3 - Habilité médicale [gagnant Maîtres] | Sam 2 Mar - 21:16
Le Sud. Aussi étrange que cela puisse paraître, j'y suis déjà allé. Après tout, j'ai étais là avant la plupart de mes semblables et des autres espèces, je me souviens comment cela était à l'époque. Un incroyable monde sauvage, humide et chaud. Quelque chose qui ma marqué, la jungle épaisse munis de danger multiple, autant animal que floral. Mêmes pour un démon, les poisons sont mortels, les animaux à ne pas sous-estimer. Voilà un endroit où j'ai aimé me battre pendant un bon moment contre ceux qui ont des plumes. Aujourd'hui, j'y suis de nouveau, explorer, trouver, conquérir, garder. Des rebelles ont eux aussi la ferme intention de prendre des territoires, voir même prendre le contrôle tout simplement. J'aimerais leur dire qu'ils ont raison, qu'ils doivent le faire, mais je sais une chose certaine, un échec de ma part, de nous autres qui représentons la loi actuelle et Méphisto pourrait se manifester. La colère des dieux ne m'intéresse pas et je ne souhaite plus jamais la voir.
J'ai mis mon armure évidemment, équipé de mes armes et je suis parti. D'autres ont suivi le mouvement, les nouveaux Robinson Crusoé. En véhicule, tout d'abord, j'ai pu observer les marques indélébiles de la guerre. Voilà un spectacle impressionnant, la nature qui veut reprendre ses droits, des feux qui semble encore brûler. Où mon regard se pose, je peux voir les batailles que j'ai menées, les batailles que j'ai gagné, mais cette invasion que nous avons perdu. Un long soupire s'échappe, modifié par l'écho métallique de ma seconde peau. Pourquoi ne pas avoir pris possession de ce territoire en même temps que les autres ? À vrai dire, j'en sais rien, la reconstruction du Nord était déjà bien assez imposante pour ne pas s'occuper encore en plus du Sud. Qu'importe, aujourd'hui, je suis là en tant que lieutenant de Malécius. Je dois aider mes semblables à étendre leurs pouvoirs. Afin d'asseoir notre domination et un atout territorial, donc politique, sur ces terres.
Après une très longue marche, je rencontre des gens qui semblent vivre ici, dans les cendres et l'horreur. Des petites maisons ici et là, faite de récupération. Éléments perdus et tordu. Puis une masse grouillante se fait apercevoir dans le fin brouillard encore existant de la guerre. Des formes humanoïdes. Voilà qui me rassure, je n'aurais pas à me battre aujourd'hui, un jour de plus sans réveiller la bête qui gît encore ici. Je l'entends grogner et rire... Le second son est celui qui m'inquiète le plus. Alors que les pensées me transportent ailleurs, une jeune fille vient s'accrocher à moi en pleurant. Je la fais reculer, je ne sais pas ce qu'elle veux. Elle pourrait aussi bien être un piège malsain, mais les larmes aux joues ne mente que très peu. Un genou à terre, je lui demande ce qui lui cause tant de chagrin. M'expliquant peu à peu la situation, je me rendis compte que j'allais devoir sortir de sentier, que j'ai trop bien battu. Je vais devoir prodiguer des soins. Bien que je n'en sois pas incapable, je n'en ai tout du moins jamais vraiment exécuté. Sur mes hommes, quand les médecins étaient débordés, sur des prisonniers, pour ne pas les perdre. Malgré tout, je la suis, docilement.
Arrivé face à l'inconnu, il ne semble pas effrayé par ma présence, mais plutôt interloqué par la petite. Elle le perturbe et l'effraie même aussi. Il se frappe un peu la tête, la tenant entre ses deux mains. Il est dans un état psychotique grave. J'utilise mon pouvoir sur lui, pour arrêter chacun de ses mouvements, inutile qu'il ne se blesse plus que nécessaire. Puis je l'attache avec des liens, pour m'économiser et me concentrer sur ce qui ne va pas. Je l’assois face à moi, avec la plus grande douceur dont je suis muni. Retirant enfin mon casque pour lui révéler ma nature démoniaque, par mes grands yeux dorés et une chevelure verte. Je demande à la petite fille de partir, lui donnant un met plutôt rare dans le coin dorénavant, du chocolat. « Je m'en occuperais bien. Je serais au même endroit tous les jours, tu pourras venir voir comment cela évolue. ».
« Expliquez-moi, ce qui ne va pas monsieur. ». Tandis qu'il me regarde droit dans les yeux, il tente de se libérer « Si vous insistez le nœud ne se fera que plus fort, alors que si nous parlons, je peux m'engager à vous relâcher les poignets. Mais vous devez d'abord me parler de votre problème ». Il délie cette langue. Je... Il est rare de constater de tel cas de paranoïa. Je ne connais pas le nom exact de cette démence, je ne suis pas psychanalyste, ni même psychologue. Ce que je sais cependant, c'est que certain trouble d'ordre psychiatrique, provienne d'une lésion cérébrale. J'espère et je prie... Non, j'espère juste que ce sois le cas, je pourrais alors le soigner... Sinon... il faudra des années, toute une vie pour le soigner. Je ne fais pas non plus cela gratuitement. Le type en face de moi, à des informations qui semble primordial pour la conquête du Sud, sinon je l'aurais déjà laissé à son sort. Un autre groupe m'interrompt, d'autres démons sont arrivés. Je demande à ce qu'une cellule médicale soit ouverte, ce qui évidemment est fait assez vite. J'y installe le patient et demande un pronostique complet de l'individu. J'apprends qu'il souffre du syndrome dit de Fregoli. De plus, il souffre aussi d'une lésion cérébrale. Ils ne savent cependant pas de quelle nature est la lésion. Je prends alors place face au malade et pose ma main sur son front.
Le flux de sang, le cœur qui bat, tout se dessine. J'identifie toutes les voies du liquide rouge, si précieux à notre survie. Je l'entends, les échos de son voyage qui me dessine le corps de cet homme. Un léger souffle au cœur par exemple, inoffensif cependant. Des blessures internes minimes que les plaquettes tente de guérir. Je me promène et suis le parcours de se sang et j'identifie la source du problème. Le cerveau, un lieu étrange que l'on ne comprend que peu encore aujourd'hui. La nuit vient et ma fatigue avec elle. J'en parlerais plus tard avec le médecin. Je rejoins donc mon lieu de repos, en trouvant deux attaches solides pour installer mon hamac. Je ne cache pas que les bêtes aux sols, malgré que la plupart aient disparut, ne me tente que fort peu.
Le lendemain, je suis réveillé par le bruit de la pluie. Aussi surprenant que cela puisse paraître. Le bruit de l'eau, le coulis de cette dernière est apaisant. Cependant, lorsqu'elle frappe le sol comme un tonnerre, il est plus difficile de s'imaginer son côté tranquillisant. Se rendormir ne serait que contre productif, j'enfile alors immédiatement mon armure et mes armes, accourant directement à la cellule médical. L'eau frappe mon armure, laissant échapper ce bruit distinctif du fer. Les gens me saluent, d'autres n'en ont pas vraiment le choix, du moins c'est ce qu'ils pensent. Je n'y fais pas attention et passe le substitue de porte en plastique de la tente. Une fois à l'intérieure, je vois un groupe de blouse blanche autour d'un homme, mon fou. Le Fregolien, ne semble pas de bonne humeur, j'imagine que brandir un scalpel face à tout ceux qui sont là est un signe de bougonnement. Je m'approche alors de lui, écartant les médecins. Il tente de me couper avec son outil médical, qui se brise sur mon armure. Je ne lui inflige aucun coup, se serais ridicule de s'en prendre à un homme déjà bien malade. Je l'attache à nouveau et fait part de mes découvertes aux médecins.
Étonné et en accord avec ce que je leurs apprend, il me disent que toutefois, ils n'ont pas les outils nécessaires pour guérir cette lésion. Le système limbique, comme ils disent, est une zone effectivement source à problème émotionnel. La seul chose que je leurs demandent, c'est savoir si réglé le problème de l’ischémie de cette personne, pourrais détruire la psychose. On me fait vite comprendre que c'est un peu plus compliqué que cela, mais accélérera grandement son soin. Je respire doucement. Je fais asseoir le fregoli face à moi et il me pose une question qui me frappe. Une question que moi même je me pose tout les jours. Lorsque je rêve, que je me réveille, que je me croise dans le reflet d'un miroir posé là, dans les flaques d'eau ou tout ce qui pourrait me refléter à moi-même. « Êtes-vous vous même ? N'êtes vous pas quelqu'un d'autre ? ». Sous mon casque, il ne vois pas mon expression meurtris. Tout ce que je lui offre est une réponse aussi calme et froide qu'une journée d'hiver « Je me pose chaque jour la question ». Puis je m'affaire à le soigner. Il me fallut à peine 5 minutes. Son problème venant d'un caillot, je l'ai simplement ''dilué''. Voilà que le sang reprend la route, tel un tsunami. Il se tient la tête, se plaint de maux et de douleur. Ce doit être normal après tout. Je lui laisse plusieurs heures, même la journée entière, avant que l'on ne me saute de nouveau dessus. Deux bras enfantin, une voix aigus et féminine, la petite fille. « Grâce à vous mon papa me reconnaît, merci monsieur le démon ». Je tapote sa tête et lui dis de me mener à son père, sans hésiter elle saisi le métal froid qui protège ma main et malgré cela, je peux sentir la chaleur de son corps, son cœur qui bat la chamade heureuse d'une petite fille qui ne semble plus perdu.
Les médecins me félicitent, le sujet souffre encore de quelques soucis psychologique, mais qui se feront bien vite oublier. Il devra aussi suivre un médecin régulier pour éviter un AVC ou d'autres soucis cérébraux. Bien que tout ceci soit beau, je n'ai pas le temps pour des réjouissances, mon temps est compté, les rebelles ne m’attendront pas pour la conquête du sud. Je vais droit au sujet, je lui demande où se trouve les vielles armes et la place-forte aujourd'hui oubliée... Et lorsqu'il m'en fait la description, je reconnais immédiatement l'endroit. Avant que je puisse dire un mot, j'entends des cris à l'extérieur et des coups de feu, les rebelles sont ici. « Partez, vous et votre fille, il n'y a plus rien ici dorénavant, les démons seront beaucoup plus sévère et les rebelles voudront mes informations. Alors je vous laisse le choix, fuir et ne rien leur dire, rester en vous joignant à eux, mais vous voir mourir de ma main... Et je déteste séparer les familles... Et n'oubliez pas de vous faire soigner ». Mon ton fut suffisant, ainsi que la menace. Il prit son baluchon, sa fille et couru. Je sort de la tente, les armes en évidence. Après tant d'années, la guerre était toujours là, après tant de siècle la Terre n'était pas en repos. J'ai entendu un grondement lorsque j'ai sauvé cet homme, maintenant, mes lames en main et mes tentacules sanglantes de sortie, j'entends un rire.
J'ai mis mon armure évidemment, équipé de mes armes et je suis parti. D'autres ont suivi le mouvement, les nouveaux Robinson Crusoé. En véhicule, tout d'abord, j'ai pu observer les marques indélébiles de la guerre. Voilà un spectacle impressionnant, la nature qui veut reprendre ses droits, des feux qui semble encore brûler. Où mon regard se pose, je peux voir les batailles que j'ai menées, les batailles que j'ai gagné, mais cette invasion que nous avons perdu. Un long soupire s'échappe, modifié par l'écho métallique de ma seconde peau. Pourquoi ne pas avoir pris possession de ce territoire en même temps que les autres ? À vrai dire, j'en sais rien, la reconstruction du Nord était déjà bien assez imposante pour ne pas s'occuper encore en plus du Sud. Qu'importe, aujourd'hui, je suis là en tant que lieutenant de Malécius. Je dois aider mes semblables à étendre leurs pouvoirs. Afin d'asseoir notre domination et un atout territorial, donc politique, sur ces terres.
Après une très longue marche, je rencontre des gens qui semblent vivre ici, dans les cendres et l'horreur. Des petites maisons ici et là, faite de récupération. Éléments perdus et tordu. Puis une masse grouillante se fait apercevoir dans le fin brouillard encore existant de la guerre. Des formes humanoïdes. Voilà qui me rassure, je n'aurais pas à me battre aujourd'hui, un jour de plus sans réveiller la bête qui gît encore ici. Je l'entends grogner et rire... Le second son est celui qui m'inquiète le plus. Alors que les pensées me transportent ailleurs, une jeune fille vient s'accrocher à moi en pleurant. Je la fais reculer, je ne sais pas ce qu'elle veux. Elle pourrait aussi bien être un piège malsain, mais les larmes aux joues ne mente que très peu. Un genou à terre, je lui demande ce qui lui cause tant de chagrin. M'expliquant peu à peu la situation, je me rendis compte que j'allais devoir sortir de sentier, que j'ai trop bien battu. Je vais devoir prodiguer des soins. Bien que je n'en sois pas incapable, je n'en ai tout du moins jamais vraiment exécuté. Sur mes hommes, quand les médecins étaient débordés, sur des prisonniers, pour ne pas les perdre. Malgré tout, je la suis, docilement.
Arrivé face à l'inconnu, il ne semble pas effrayé par ma présence, mais plutôt interloqué par la petite. Elle le perturbe et l'effraie même aussi. Il se frappe un peu la tête, la tenant entre ses deux mains. Il est dans un état psychotique grave. J'utilise mon pouvoir sur lui, pour arrêter chacun de ses mouvements, inutile qu'il ne se blesse plus que nécessaire. Puis je l'attache avec des liens, pour m'économiser et me concentrer sur ce qui ne va pas. Je l’assois face à moi, avec la plus grande douceur dont je suis muni. Retirant enfin mon casque pour lui révéler ma nature démoniaque, par mes grands yeux dorés et une chevelure verte. Je demande à la petite fille de partir, lui donnant un met plutôt rare dans le coin dorénavant, du chocolat. « Je m'en occuperais bien. Je serais au même endroit tous les jours, tu pourras venir voir comment cela évolue. ».
« Expliquez-moi, ce qui ne va pas monsieur. ». Tandis qu'il me regarde droit dans les yeux, il tente de se libérer « Si vous insistez le nœud ne se fera que plus fort, alors que si nous parlons, je peux m'engager à vous relâcher les poignets. Mais vous devez d'abord me parler de votre problème ». Il délie cette langue. Je... Il est rare de constater de tel cas de paranoïa. Je ne connais pas le nom exact de cette démence, je ne suis pas psychanalyste, ni même psychologue. Ce que je sais cependant, c'est que certain trouble d'ordre psychiatrique, provienne d'une lésion cérébrale. J'espère et je prie... Non, j'espère juste que ce sois le cas, je pourrais alors le soigner... Sinon... il faudra des années, toute une vie pour le soigner. Je ne fais pas non plus cela gratuitement. Le type en face de moi, à des informations qui semble primordial pour la conquête du Sud, sinon je l'aurais déjà laissé à son sort. Un autre groupe m'interrompt, d'autres démons sont arrivés. Je demande à ce qu'une cellule médicale soit ouverte, ce qui évidemment est fait assez vite. J'y installe le patient et demande un pronostique complet de l'individu. J'apprends qu'il souffre du syndrome dit de Fregoli. De plus, il souffre aussi d'une lésion cérébrale. Ils ne savent cependant pas de quelle nature est la lésion. Je prends alors place face au malade et pose ma main sur son front.
Le flux de sang, le cœur qui bat, tout se dessine. J'identifie toutes les voies du liquide rouge, si précieux à notre survie. Je l'entends, les échos de son voyage qui me dessine le corps de cet homme. Un léger souffle au cœur par exemple, inoffensif cependant. Des blessures internes minimes que les plaquettes tente de guérir. Je me promène et suis le parcours de se sang et j'identifie la source du problème. Le cerveau, un lieu étrange que l'on ne comprend que peu encore aujourd'hui. La nuit vient et ma fatigue avec elle. J'en parlerais plus tard avec le médecin. Je rejoins donc mon lieu de repos, en trouvant deux attaches solides pour installer mon hamac. Je ne cache pas que les bêtes aux sols, malgré que la plupart aient disparut, ne me tente que fort peu.
Le lendemain, je suis réveillé par le bruit de la pluie. Aussi surprenant que cela puisse paraître. Le bruit de l'eau, le coulis de cette dernière est apaisant. Cependant, lorsqu'elle frappe le sol comme un tonnerre, il est plus difficile de s'imaginer son côté tranquillisant. Se rendormir ne serait que contre productif, j'enfile alors immédiatement mon armure et mes armes, accourant directement à la cellule médical. L'eau frappe mon armure, laissant échapper ce bruit distinctif du fer. Les gens me saluent, d'autres n'en ont pas vraiment le choix, du moins c'est ce qu'ils pensent. Je n'y fais pas attention et passe le substitue de porte en plastique de la tente. Une fois à l'intérieure, je vois un groupe de blouse blanche autour d'un homme, mon fou. Le Fregolien, ne semble pas de bonne humeur, j'imagine que brandir un scalpel face à tout ceux qui sont là est un signe de bougonnement. Je m'approche alors de lui, écartant les médecins. Il tente de me couper avec son outil médical, qui se brise sur mon armure. Je ne lui inflige aucun coup, se serais ridicule de s'en prendre à un homme déjà bien malade. Je l'attache à nouveau et fait part de mes découvertes aux médecins.
Étonné et en accord avec ce que je leurs apprend, il me disent que toutefois, ils n'ont pas les outils nécessaires pour guérir cette lésion. Le système limbique, comme ils disent, est une zone effectivement source à problème émotionnel. La seul chose que je leurs demandent, c'est savoir si réglé le problème de l’ischémie de cette personne, pourrais détruire la psychose. On me fait vite comprendre que c'est un peu plus compliqué que cela, mais accélérera grandement son soin. Je respire doucement. Je fais asseoir le fregoli face à moi et il me pose une question qui me frappe. Une question que moi même je me pose tout les jours. Lorsque je rêve, que je me réveille, que je me croise dans le reflet d'un miroir posé là, dans les flaques d'eau ou tout ce qui pourrait me refléter à moi-même. « Êtes-vous vous même ? N'êtes vous pas quelqu'un d'autre ? ». Sous mon casque, il ne vois pas mon expression meurtris. Tout ce que je lui offre est une réponse aussi calme et froide qu'une journée d'hiver « Je me pose chaque jour la question ». Puis je m'affaire à le soigner. Il me fallut à peine 5 minutes. Son problème venant d'un caillot, je l'ai simplement ''dilué''. Voilà que le sang reprend la route, tel un tsunami. Il se tient la tête, se plaint de maux et de douleur. Ce doit être normal après tout. Je lui laisse plusieurs heures, même la journée entière, avant que l'on ne me saute de nouveau dessus. Deux bras enfantin, une voix aigus et féminine, la petite fille. « Grâce à vous mon papa me reconnaît, merci monsieur le démon ». Je tapote sa tête et lui dis de me mener à son père, sans hésiter elle saisi le métal froid qui protège ma main et malgré cela, je peux sentir la chaleur de son corps, son cœur qui bat la chamade heureuse d'une petite fille qui ne semble plus perdu.
Les médecins me félicitent, le sujet souffre encore de quelques soucis psychologique, mais qui se feront bien vite oublier. Il devra aussi suivre un médecin régulier pour éviter un AVC ou d'autres soucis cérébraux. Bien que tout ceci soit beau, je n'ai pas le temps pour des réjouissances, mon temps est compté, les rebelles ne m’attendront pas pour la conquête du sud. Je vais droit au sujet, je lui demande où se trouve les vielles armes et la place-forte aujourd'hui oubliée... Et lorsqu'il m'en fait la description, je reconnais immédiatement l'endroit. Avant que je puisse dire un mot, j'entends des cris à l'extérieur et des coups de feu, les rebelles sont ici. « Partez, vous et votre fille, il n'y a plus rien ici dorénavant, les démons seront beaucoup plus sévère et les rebelles voudront mes informations. Alors je vous laisse le choix, fuir et ne rien leur dire, rester en vous joignant à eux, mais vous voir mourir de ma main... Et je déteste séparer les familles... Et n'oubliez pas de vous faire soigner ». Mon ton fut suffisant, ainsi que la menace. Il prit son baluchon, sa fille et couru. Je sort de la tente, les armes en évidence. Après tant d'années, la guerre était toujours là, après tant de siècle la Terre n'était pas en repos. J'ai entendu un grondement lorsque j'ai sauvé cet homme, maintenant, mes lames en main et mes tentacules sanglantes de sortie, j'entends un rire.
Marcus Bracket- Race du personnage : Humain
Re: Épreuve 3 - Habilité médicale [gagnant Maîtres] | Dim 3 Mar - 17:50
Encore une nouvelle journée de merde qui s'annonçait pour le Doc'. Il se réveillait sur son bureau, essuyant rapidement le filet de bave dégoulinant de sa bouche, ce mouvement fit tomber au sol une bouteille de whisky vide qui trônait auparavant fièrement sur son bureau.
Marcus se massa les temps en pensant à ce qu'il allait faire aujourd'hui et son regard dériva vers l'immense pile de dossier qu'il aurait dû lire mais sa flemmite aiguë l'en avait empêcher. Il remercia son organisme de ne pas lui avoir donné la gueule de bois avant de se rendre compte qu'il avait salopé la fiche médicale d'un rebelle, il jeta un coup d’œil à la fiche en question mais celle-ci était illisible, les tâches parsemant la fiche étaient sans doute des tâches de whisky, il pouvait juste distinguer une heure de rendez-vous, c'est à dire aujourd'hui. Le Doc' soupira avant avant de mettre la fiche en boule et la lancer vers sa corbeille. Il s'apprêta à sortir pour aller à l'infirmerie avant de se rendre compte qu'avoir une blouse tâché par du whisky ainsi qu'un caleçon n'était peut-être pas des vêtements adaptés pour le travail.
Un brin de toilette et un changement de vêtements plus tard, Marcus était dans les couloirs, faisant une tête digne de celle d'un incube qui avait eu une panne juste avant un coït, se dirigeant vers l'infirmerie.
Personne ne le saluait quand on le croisait mais sachant qu'il n'aimait et ne respectait personne dans ce bunker, mis à part peut-être ses supérieurs, c'était une situation parfaitement normale pour lui. En arrivant à son lieu de travail, il eu la mauvaise surprise de voir qu'une nouvelle infirmière l'attendait: c'était une démone, ou peut-être une succube, en tenue d'infirmière, deux petits cornes enraciné dans sa chevelure rose dépassant sa coiffe d'infirmière et une queue démoniaque qui balayait tranquillement le sol. Elle eut un sourire en voyant Marcus approcher, elle était probablement nouvelle et pensait apprendre des choses en compagnie du Doc'...La pauvre.
- Bonjour Do-...
- Ta gueule.
Cette parole était sortie presque automatiquement de la bouche du Médecin laissant l'infirmière surprise mais celle-ci ne se laissait pas démonter par cette attitude détestable, mais son sourire laissant place à une moue concerné.
- ...Un problème ?
- Oui, la première chose que je vois depuis que je suis sorti de mon bureau est ton foutu sourire collé sur ta sale gueule de démone...
Marcus laissa la pauvre infirmière planté sur le pas de la porte, y entra pour voir une masse de poil hirsute dans l'infirmerie.
...Et la seconde chose que je vois est UN PUTAIN DE LYCAN TRANSFORME DANS L'INFIRMERIE ! MAIS BORDEL, VOUS SAVEZ PAS SUIVRE LES REGLES FOUTUS CLEBARS ??!! PAS DE TRANSFORMATION DANS L'INFIR-...Ah.
Le "lycan" s'était tourné vers lui, montrant un visage bien humain bien que couverts de poils. Le Doc' fit rapidement le lien entre la fiche qu'il avait salopé et le patient qui l'attendait.
*Et meeeeeerde...*
Le patient semblait légèrement honteux et gêné mais c'est pas comme si Marcus en avait quelque chose à faire: le patient avait eu le malheur d'ouvrir légèrement sa bouche suite à l'engueulade non mérité révélant deux canines développées révélant sa nature de vampire. Le Doc' comprit immédiatement quelle était sa maladie, ayant apprit son existence en se documentant, à l'époque ou il étudiait encore la médecine. Il fit appelle à sa mémoire légendaire et très vite, diverses informations concernant l'hypertrichose, aussi appelé syndrome du loup-garou prirent place dans son esprit.
- Bon, déshabilles-toi et poses-toi sur la table pour que je commence la tonte.
Le regarda le Doc' d'un air ahuri pendant que celui-ci se massait les tempes, se rendant compte que son patient ne savait pas grand chose de sa propre maladie.
- Tu es atteint d'hypertrichose, la version congénitale donc incurable...Il n'y a que des remèdes temporaires, j'vais couper le plus gros et finir le reste avec de la crème épilatoire...Donc allonge-toi sur la table que je puisse commencer et finir rapidement.
Le Doc' laissa donc son patient s'installer pendant qu'il allait chercher les ciseaux, il soupira une nouvelle fois songeant qu'il était médecin pas coiffeur. Une fois l'ustensile récupérer, Marcus entama le travail commençant par les pieds avant de remonter au fur et à mesure tout en évitant les endroits sensibles, il voulait couper du poil pas le faire saigner inutilement.
Ce fut une fois arrivé au bassin que le Doc se rendit compte de ce qu'il allait devoir faire...
*Putain...Mais non...*
Marcus poussa un long soupir avant de s'atteler à la dure tâche qu'était de couper les poils autour du membre du vampire, celui-ci avait justement l'air d'être mal à l'aise, probablement à cause du fait qu'un objet coupant était proche de son organe reproducteur.
Il prit trois heures entière pour parcourir le corps du vampire, révélant petit à petit son corps ainsi que les traits grossier de son visage.
- Infirmière ! J'ai besoin de la crème dépilatoire !
L'infirmière, qui était justement resté à distance du doc pour l'observer, fit ce qu'il disait malgré l’attitude exécrable qu'il avait eu envers elle. Elle lui passa la crème que le Doc' s'empressa d'ouvrir pour badigeonner les endroits difficile à atteindre pour le vampire, il aurait pu laisser l’infirmière s’en occuper mais le Doc’ préférait finir ce qu’il avait commencer et connaissait le vieil adage « on n’est jamais mieux servit que par soi-même »
- Bon, j’ai fais ce que j’ai pu, maintenant je t’invite à mettre de la crème sur tout ton corps tout les jours, le martin et le soir et tout devrait bien se passer...Rhabille-toi et tire-toi maintenant !
Le patient se rhabilla et parti sans demander son reste, mais probablement heureux d’être débarrassé de ses vilains poils. Le Doc’ s’apprêta à partir avant de remarquer le nombre impressionnant de poils qui s’étaient accumulés par terre pendant « l’opération ».
- Infirmière ! Nettoies-moi tout ce merdier, j’veux que ce soit propre quand le prochain patient apparaîtra ! En attendant, je vais me prendre un verre.
Le Doc’ fut forcé de reconnaître l’incroyable self control de l’infirmière, qui se mit à la tâche sans rechigner. Il était sur le pas de la porte mais entendit un petit « Connard » provenant de derrière lui ce qui lui arracha un sourire : elle n’était pas prête pour la suite..
- Je sais !
Marcus se massa les temps en pensant à ce qu'il allait faire aujourd'hui et son regard dériva vers l'immense pile de dossier qu'il aurait dû lire mais sa flemmite aiguë l'en avait empêcher. Il remercia son organisme de ne pas lui avoir donné la gueule de bois avant de se rendre compte qu'il avait salopé la fiche médicale d'un rebelle, il jeta un coup d’œil à la fiche en question mais celle-ci était illisible, les tâches parsemant la fiche étaient sans doute des tâches de whisky, il pouvait juste distinguer une heure de rendez-vous, c'est à dire aujourd'hui. Le Doc' soupira avant avant de mettre la fiche en boule et la lancer vers sa corbeille. Il s'apprêta à sortir pour aller à l'infirmerie avant de se rendre compte qu'avoir une blouse tâché par du whisky ainsi qu'un caleçon n'était peut-être pas des vêtements adaptés pour le travail.
Un brin de toilette et un changement de vêtements plus tard, Marcus était dans les couloirs, faisant une tête digne de celle d'un incube qui avait eu une panne juste avant un coït, se dirigeant vers l'infirmerie.
Personne ne le saluait quand on le croisait mais sachant qu'il n'aimait et ne respectait personne dans ce bunker, mis à part peut-être ses supérieurs, c'était une situation parfaitement normale pour lui. En arrivant à son lieu de travail, il eu la mauvaise surprise de voir qu'une nouvelle infirmière l'attendait: c'était une démone, ou peut-être une succube, en tenue d'infirmière, deux petits cornes enraciné dans sa chevelure rose dépassant sa coiffe d'infirmière et une queue démoniaque qui balayait tranquillement le sol. Elle eut un sourire en voyant Marcus approcher, elle était probablement nouvelle et pensait apprendre des choses en compagnie du Doc'...La pauvre.
- Bonjour Do-...
- Ta gueule.
Cette parole était sortie presque automatiquement de la bouche du Médecin laissant l'infirmière surprise mais celle-ci ne se laissait pas démonter par cette attitude détestable, mais son sourire laissant place à une moue concerné.
- ...Un problème ?
- Oui, la première chose que je vois depuis que je suis sorti de mon bureau est ton foutu sourire collé sur ta sale gueule de démone...
Marcus laissa la pauvre infirmière planté sur le pas de la porte, y entra pour voir une masse de poil hirsute dans l'infirmerie.
...Et la seconde chose que je vois est UN PUTAIN DE LYCAN TRANSFORME DANS L'INFIRMERIE ! MAIS BORDEL, VOUS SAVEZ PAS SUIVRE LES REGLES FOUTUS CLEBARS ??!! PAS DE TRANSFORMATION DANS L'INFIR-...Ah.
Le "lycan" s'était tourné vers lui, montrant un visage bien humain bien que couverts de poils. Le Doc' fit rapidement le lien entre la fiche qu'il avait salopé et le patient qui l'attendait.
*Et meeeeeerde...*
Le patient semblait légèrement honteux et gêné mais c'est pas comme si Marcus en avait quelque chose à faire: le patient avait eu le malheur d'ouvrir légèrement sa bouche suite à l'engueulade non mérité révélant deux canines développées révélant sa nature de vampire. Le Doc' comprit immédiatement quelle était sa maladie, ayant apprit son existence en se documentant, à l'époque ou il étudiait encore la médecine. Il fit appelle à sa mémoire légendaire et très vite, diverses informations concernant l'hypertrichose, aussi appelé syndrome du loup-garou prirent place dans son esprit.
- Bon, déshabilles-toi et poses-toi sur la table pour que je commence la tonte.
Le regarda le Doc' d'un air ahuri pendant que celui-ci se massait les tempes, se rendant compte que son patient ne savait pas grand chose de sa propre maladie.
- Tu es atteint d'hypertrichose, la version congénitale donc incurable...Il n'y a que des remèdes temporaires, j'vais couper le plus gros et finir le reste avec de la crème épilatoire...Donc allonge-toi sur la table que je puisse commencer et finir rapidement.
Le Doc' laissa donc son patient s'installer pendant qu'il allait chercher les ciseaux, il soupira une nouvelle fois songeant qu'il était médecin pas coiffeur. Une fois l'ustensile récupérer, Marcus entama le travail commençant par les pieds avant de remonter au fur et à mesure tout en évitant les endroits sensibles, il voulait couper du poil pas le faire saigner inutilement.
Ce fut une fois arrivé au bassin que le Doc se rendit compte de ce qu'il allait devoir faire...
*Putain...Mais non...*
Marcus poussa un long soupir avant de s'atteler à la dure tâche qu'était de couper les poils autour du membre du vampire, celui-ci avait justement l'air d'être mal à l'aise, probablement à cause du fait qu'un objet coupant était proche de son organe reproducteur.
Il prit trois heures entière pour parcourir le corps du vampire, révélant petit à petit son corps ainsi que les traits grossier de son visage.
- Infirmière ! J'ai besoin de la crème dépilatoire !
L'infirmière, qui était justement resté à distance du doc pour l'observer, fit ce qu'il disait malgré l’attitude exécrable qu'il avait eu envers elle. Elle lui passa la crème que le Doc' s'empressa d'ouvrir pour badigeonner les endroits difficile à atteindre pour le vampire, il aurait pu laisser l’infirmière s’en occuper mais le Doc’ préférait finir ce qu’il avait commencer et connaissait le vieil adage « on n’est jamais mieux servit que par soi-même »
- Bon, j’ai fais ce que j’ai pu, maintenant je t’invite à mettre de la crème sur tout ton corps tout les jours, le martin et le soir et tout devrait bien se passer...Rhabille-toi et tire-toi maintenant !
Le patient se rhabilla et parti sans demander son reste, mais probablement heureux d’être débarrassé de ses vilains poils. Le Doc’ s’apprêta à partir avant de remarquer le nombre impressionnant de poils qui s’étaient accumulés par terre pendant « l’opération ».
- Infirmière ! Nettoies-moi tout ce merdier, j’veux que ce soit propre quand le prochain patient apparaîtra ! En attendant, je vais me prendre un verre.
Le Doc’ fut forcé de reconnaître l’incroyable self control de l’infirmière, qui se mit à la tâche sans rechigner. Il était sur le pas de la porte mais entendit un petit « Connard » provenant de derrière lui ce qui lui arracha un sourire : elle n’était pas prête pour la suite..
- Je sais !
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Re: Épreuve 3 - Habilité médicale [gagnant Maîtres] |
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